Selon Marion Maréchal, avoir « deux candidatures plutôt qu’une ne facilite pas les choses ». Sans trancher entre Eric Zemmour et Marine le Pen, elle dit qu’il « faudra peut-être se poser la question à un moment donné de savoir qui est le mieux placé ».
Interrogée par Mathieu Bock-Côté sur CNews samedi, Marion Maréchal a évoqué la droite :
« Éric Zemmour se réempare du terme de “droite” avec une absence totale de complexe. C’est intéressant parce que pendant des années, la droite s’est laissé imposer le cadre moral de la gauche. »
« La démographie fait l’Histoire : près d’un tiers des enfants nés en France ont au moins un parent né dans un pays extra-européen. On risque une partition de la France. »
Ils en ont, de la chance, les habitants de Cologne ! Ils pourront bientôt entendre, chaque vendredi, l’appel à la prière diffusé par haut-parleur. L’information, rapportée par l’hebdomadaire allemand Die Zeit, semble confirmée. Ce n’est pas un canular du Gorafi. Cette décision est significative de l’entrisme de l’islam dans les pays occidentaux et de la soumission d’une partie de leurs dirigeants.
Dans un communiqué, Henriette Reker, maire de Cologne, s’est ainsi justifiée : « Alors que les cloches sonnent dans les églises chrétiennes pour appeler les croyants, dans les mosquées de confession musulmane, ce sont les appels du muezzin qui servent à cet effet. » Ce projet est « un signe d’acceptation mutuelle de la religion », c’est un moyen de montrer que la « diversité est valorisée et vécue à Cologne ». Voilà qui serait approuvé en France, notamment à l’extrême gauche, au nom d’une laïcité mal comprise qui, sous prétexte de neutralité, met toutes les religions sur le même plan. L’annonce publique de la prière effectuée par les muezzins serait donc l’équivalent des cloches des églises.
Il suffit pourtant de relire les paroles rituelles de l’appel à la prière musulmane pour comprendre la différence. Les formules « Allah est le plus grand », « J’atteste qu’il n’y a de Dieu hormis Allah » n’ont pas seulement une signification religieuse, elles ont aussi un sens politique qu’il serait imprudent d’ignorer. « Allahu Akbar » peut, certes, être utilisé en dehors du cadre religieux, pour signifier la joie ou la surprise par exemple, mais est souvent proféré par des terroristes au moment de passer à l’acte : c’est, depuis l’époque de Mahomet, un cri de guerre. S’il est arrivé que les églises soient appelées à faire sonner leurs cloches à toute volée pour célébrer la paix, elles n’appellent pas à la guerre.
Ces bons apôtres, qui prônent, à l’instar d’Henriette Reker, la « coexistence pacifique », ignorent sans doute – ou feignent d’ignorer – qu’il existe une grande différence entre le christianisme et l’islam. Si le premier rend aujourd’hui à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu, le second désigne une religion inséparable d’une organisation politique et juridique. Les cloches n’ont rien à voir avec l’appel des muezzins. Ces signes symbolisent deux civilisations différentes qui peuvent difficilement coexister quand l’une a des visées expansionnistes. Admettre des manifestations extérieures de la religion islamique, c’est admettre aussi une islamisation progressive du pays.
Tous les Français, croyants ou non, sont habitués à entendre les cloches des églises et seuls quelques grincheux s’en plaignent. Elles font partie de la tradition et de la culture françaises. Ce n’est pas le cas des appels à la prière, qui sont le propre des pays islamiques. Ce qui se passe à Cologne est une nouvelle concession à une civilisation qui ne nous veut pas que du bien. Faire passer pour de la tolérance cette soumission, c’est faire preuve d’une grande naïveté ou d’une connivence coupable.
Ils étaient donnés grands favoris pour le Prix Nobel 2021 de médecine-physiologie : Drew Weissman et Katalin Karikó.
Ils sont en effet considérés par leurs pairs comme les ultimes précurseurs des « vaccins » à acide ribonucléique messager (ARNm) par leurs travaux, publiés en 2005.
Rappelons encore une fois, comme l’a montré entre autres le Dr Nicole Delépine, que l’emploi du terme « vaccin » (au sens pasteurien du terme) pour qualifier une injection génique à ARNm est une escroquerie scientifique. Mais ce n’est évidemment pas la raison pour laquelle le Comité Nobel a écarté nos deux valeureux chercheurs…
Les scientifiques allemands ou américains qui ont développé le « vaccin » de Pfizer/BioNTech (particulièrement risqué puisqu’il repose sur un ARNm codant la protéine Spike de l’enveloppe du virus SARS-CoV-2 responsable de la Covid-19, protéine dont la toxicité est problématique), comme les scientifiques chinois de l’académie militaire de l’Armée populaire de libération, en association avec les sociétés de biotechnologie Suzhou Abogen Biosciences et Walvax Biotechnology, auraient pu être présentés par la grosse presse unanime comme également nobélisables…
Or l’Assemblée Nobel de médecine-physiologie, pilotée par l’Institut Karolinska a superbement ignoré une Katalin Karikó ou un Drew Weissman, sans parler des autres « chaînons » que je viens d’évoquer.
Pour le Comité Nobel, un vaccin (nous incluons dans ce terme, par abus, les substances géniques à ARNm) n’est pas une « découverte » scientifique à proprement parler, mais l’utilisation, plus ou moins astucieuse, de découvertes faites préalablement. Nobéliser Monod, Lwoff et Jacob, oui, et ce fut fait en 1965 pour leurs travaux sur la « régulation génétique de la synthèse des enzymes et des virus » (François Gros fut très injustement « oublié » par le Comité Nobel), mais nobéliser Karikó ou Weissman, non…
Le Comité Nobel ne fit qu’une seule exception avec le scientifique sud-africain Max Theiler, inventeur d’un vaccin contre la fièvre jaune.
De 1932 à 1936, Theiler met au point un vaccin efficace et sans effet secondaire notable contre cette maladie qui, à l’époque, faisait des ravages considérables en Afrique subtropicale ainsi qu’en Amérique du Sud, infiniment plus que n’en fait actuellement le SARS-CoV-2 et tous ses variants sur l’ensemble de la planète… La baisse considérable du nombre de victimes consécutive à l’emploi de masse du vaccin Theiler (et d’un vaccin dérivé, dû à deux Français, Sellards et Laigret) a fait fléchir les sages du Comité Nobel qui lui décerneront son fameux Prix en 1951. Des raisons humanitaires sont manifestement intervenues dans la décision de l’Institut Karolinska…
Une autre raison de la non-attribution de l’illustre Prix à Karikó et Weissman, raison dont la presse mainstream ne s’est évidemment pas fait l’écho, est que les scientifiques de l’Institut Karolinska ont peut-être des doutes sur l’innocuité des « vaccins » à ARNm, et ne souhaitent pas être associés à ce qui pourrait devenir à plus ou moins brève échéance un véritable génocide planétaire.
Le Comité Nobel a sagement préféré récompenser deux scientifiques américains, David Julius et Ardem Patapoutian, pour leur découverte (en 1997…) des récepteurs de la température et du toucher.
Ça n’a l’air de rien, mais les travaux de ces deux chercheurs pourraient déboucher à terme sur des traitements réellement efficaces et pérennes de la douleur sous toutes ses formes. Une lumière pour ces millions de Terriens dont la vie se résume à la souffrance et au désespoir…
Maxime Leroy, 30 ans, ingénieur en études et développements, habitant entre Lens et Lille, est le nouveau Délégué régional du Parti de la France pour le Nord/Pas-de-Calais.
Ancien militant à la Dissidence Française, catholique traditionaliste, il est plus particulièrement attaché à la défense de l'identité française, à la lutte contre le marxisme mental et économique ainsi qu'à la déchristianisation de l'Occident.
« Lanceuse d’alerte sur les dangers du réseau social Facebook », voici le nouveau titre de Frances Haugen, Américaine de 37 ans, au cœur de l’actualité. Ingénieur en informatique, diplômée d’un MBA de l’université Harvard, passée par Google et Pinterest, la jeune femme a passé un peu plus de deux années au sein du géant Facebook avant de le quitter en mai dernier, prenant au passage avec elle des milliers de documents internes incriminants. Elle reproche, en effet, au réseau social créé par Mark Zuckerberg de privilégier le profit à la sécurité et au bien-être de ses utilisateurs. Oui, business is business.
Après avoir alimenté le Wall Street Journal pour une série d’enquêtes (« The Facebook Files ») publiées entre le 13 septembre et le 3 octobre 2021, elle fut invitée, à visage découvert, du très regardé magazine télévisé 60 Minutes (chaîne CBS News) et auditionnée pendant trois heures trente, ce mardi 5 octobre 2021, par une commission du Sénat américain.
Lors de ses entretiens, deux principaux sujets ont été évoqués. Premièrement, et à raison, le rôle dévastateur d’Instagram* sur les jeunes filles. Des études internes de Facebook révèlent les effets très nocifs de ce réseau social, fondé sur l’image « retouchée » : chez 13,5 % des adolescentes, Instagram accentue les pensées à caractère suicidaire, chez 17 %, il accroît les problèmes d’alimentation. Il faut, à cela, ajouter la dépendance, renforcée par l’algorithme du réseau social qui favorise l’engagement et donc le temps passé. Or, aucune mesure dissuasive n’est pratiquée sur ce jeune public, perçu comme future source de revenus.
Deuxièmement, et plus polémique, le rôle de Facebook dans la lutte contre la désinformation. Frances Haugen avance que l’entreprise ment délibérément au public et à ses investisseurs lorsqu’elle dit lutter contre « les discours de haine, de violence et de fausses informations ». La jeune femme confesse son parti pris idéologique : elle a accepté de rejoindre le réseau social à la condition de pouvoir travailler contre les « fake news », ayant « perdu un ami proche, tombé dans le complotisme ». Au siège californien de Facebook, Frances Haugen rallie donc, en 2019, le département « Intégrité civique » qui travaillera, notamment, sur les élections présidentielles de novembre 2020. C’est donc bien à son équipe que l’on doit la suppression, sur la plate-forme Facebook, des informations révélées par le New York Post quant à l’affaire Hunter Biden et défavorables au candidat démocrate.
Or, une fois Joe Biden élu, Facebook rétropédale et dissout la cellule « Intégrité civique », pas assez rentable. Frances Haugen ressent cela comme une « trahison envers la démocratie ». Car l’algorithme Facebook originel amplifierait le « phénomène de désinformation » en recommandant à ses utilisateurs des contenus similaires très engageants. D’après elle, c’est bien ce retour en arrière qui a permis les événements violents du Capitole, le 6 janvier dernier.
Lors de son audition au Congrès, Frances Haugen a été saluée unanimement pour son courage, telle David contre Goliath. La sénatrice démocrate du Minnesota, Amy Klobuchar, l’a qualifiée de « catalyseur » pour faire réagir Mark Zuckerberg. Toutefois, sur le sujet des « fausses informations », force est de constater que nombreux sont les comptes Facebook qui continuent à être supprimés ou dont les contenus sont censurés pourvu qu’ils aillent à l’encontre de la doxa.
Dès lors, quelles perspectives ? Si le Congrès avance dans le sens de la jeune femme, notamment en raison du problème du jeune public d’Instagram, il pourrait exhorter Facebook à prendre légalement des mesures davantage restrictives. Vraisemblablement, la censure sera renforcée. Fort à parier que le réseau social, qui possède également WhatsApp et Messenger, ne soit désormais dédié qu’au politiquement correct ; les utilisateurs cherchant de nouveaux lieux d’échanges se retourneront vers les plates-formes plus libres (Telegram, Signal, Gettr…).
Il y aura un jour un livre à écrire sur ces personnalités politiques squattant les premières places des baromètres de popularité, alors que de politique, ils n’en font plus depuis longtemps. De Simone Veil en Jack Lang et de Bernard Kouchner en Nicolas Hulot, la liste est longue. Le dernier en date ? Édouard Philippe, même si encore Premier ministre le 3 juillet 2020, avant de remettre sa démission, cédant ainsi la place à un Jean Castex dont le manque de charisme mériterait, lui aussi, un autre livre.
Bref, le maire du Havre demeure le champion des sondages. Et lancera même, ce samedi 10 octobre, son propre parti. Officiellement, il s’agit de soutenir la réélection d’Emmanuel Macron en 2022 ; officieusement, de préparer la sienne, pour 2027. La preuve en est que le 12 septembre dernier, il affiche, sur LCI, son « soutien complet » au Président en titre. Tout comme un autre Édouard, Balladur, celui-là, excipait, au siècle dernier, de sa fidélité à la personne de Jacques Chirac ?
En effet, si l’objectif de cette nouvelle formation, dont le nom n’est pas encore connu, demeure des plus flous, il commence déjà à inquiéter les états-majors du Modem et de LREM. Le premier, en raison d’une inimitié profonde entre François Bayrou et Édouard Philippe ; le second pour celle voulant que l’homme à la barbe de panda puisse venir chasser sur les terres d’un parti présidentiel qu’on a connu en meilleure forme. Certains macronistes iraient-ils jusqu’à prétendre que l’ancien de Matignon soutiendrait le petit nouveau de l’Élysée, telle la corde le pendu ? Nous n’en sommes manifestement pas loin.
Mais il n’est pas non plus loin, le temps où Édouard Philippe, depuis repeint aux couleurs de la nouveauté, catalysait sur sa seule personne les angoisses et le ressentiment des Français. Ainsi, faut-il rappeler que la crise des gilets jaunes fut, à l’origine, largement de son fait, car stigmatisant par avance ceux que l’inénarrable Benjamin Griveaux, alors porte-parole du gouvernement dépeindrait plus tard en « gars qui fument des clopes et qui roulent au diesel». Ainsi fut-il l’homme de la limitation de vitesse de 90 à 80 km/h sur les routes nationales, tout en faisant exploser la fiscalité sur le prix des carburants, déclenchant ainsi la jacquerie qu’on sait. Emmanuel Macron entendait geler ces augmentations d’impôts ? Édouard Philippe mit tout son poids dans la balance, afin d’éviter cette mesure d’apaisement.
Idem pour sa gestion plus qu’erratique des premiers mois de pandémie, lorsqu’il assurait sur TF1, le 13 mars 2020 : « Le port du masque de protection est inutile en milieu de population générale », avant d’effectuer une volte-face en forme de triple-salto arrière, à peine un mois plus tard. Pareillement, alors qu’un Conseil, scientifique constitué en toute urgence, préconisait la fermeture des écoles, il persistait à exiger leur « réouverture », avant d’en rabattre, il va de soi.
Pareillement, il fut encore l’homme des fameuses « attestations dérogatoires de déplacement » auxquelles plus personne ne comprenait rien ; d’où des gendarmes en hélicoptère verbalisant de simples promeneurs partis se dégourdir les jambes en pleine cambrousse. Toujours dans un semblable registre, il entendait instituer un « âge pivot » de 64 ans pour le départ à la retraite, avant de faire marche arrière, sous l’amicale pression de la CFDT. Dans la foulée, il obligeait ses ministres à choisir entre maroquin et mairie ; avant de faire une exception pour Gérald Darmanin refusant de trancher entre sa ville de Tourcoing et son poste de ministre de l’Action et des Comptes publics.
Après, peut-on mettre au crédit du chouchou des enquêtes d’opinion la fidélité à ses idées ? On est en droit d’en douter, l’homme ayant été tour à tour rocardien, juppéiste, fillonniste puis macroniste. À côté de ce Fregoli, le défunt Edgar Faure était un modèle de constance…
Une des premières pensées lorsque nous sommes nationalistes de longue date et que nous songeons à Marine Le Pen va vers les nombreux cadres de ce parti victimes de la purge incessante inhérente à la prise de présidence du Front National par cette dernière.
Il y a ceux conscients de sa nature de gauche qui sont partis ne voulant renier leurs idées.
Ceux tout aussi conscients, mais étant restés dans le parti pour vivre de la politique et tenter tant bien que mal de changer le parti de l’intérieur, de l’influencer, voire de poser malgré tout du nationalisme dans le débat caduque de la pensée unique.
Parmi ceux-là, nombreux ont été limogés sans ménagement avec des prétextes fallacieux parce qu’ils étaient restés fidèles au père, qu’il avaient eu des prises de positions fermes ou non-conformes à une charte médiatique qu’ils n’avaient pourtant pas signée. Et c’est une frénésie malsaine, écœurante à voir de “remerciements” exigés et obtenus par les médias, les partis adverses, les associations haineuses de la France qui dure encore aujourd’hui. Ils ont nommé cela dédiabolisation quand ce n’est que de la soumission au régime dans l’espoir vain d’être accepté dans le “cercle républicain” qui ne voudra jamais d’elle, ne serait-ce que pour son nom. Des lieutenants zélés ne furent pas en reste, porteurs d’un fond dégueulasse ou ayant renoncé à l’intégrité parce que pensant la partie perdue.
Pendant ces quatres dernières années, madame Le Pen ne s’est opposée à rien malgré la politique violente de Macron envers le peuple Français que ce soit en terme social, identitaire, financier, du droit, de la représentation digne de la France à l’international, de l’emploi, de la sécurité et dernièrement en terme sanitaire. Non, elle ne s’est pas dressée contre le tyran à tête de benêt bourgeois du Touquet ; elle a parfois même fait du sur-Macron sur les masques et autres mesures exagérées comme inutiles.
Sûre d’être au second tour, elle a fait une longue sieste, réveillée, surprise et fâchée cependant lors des dernières régionales que le petit peuple ait osé ne pas se déplacer pour voter RN. Pourquoi l’aurait-il fait ? Pourquoi serait-il sorti un dimanche matin de sous la couette pour aller voter RN ? Ce parti ne s’oppose plus à rien, fait de la politique pour la rente de la présidente, de ses conseillers et de ses cadres. La vocation des Français n’est pas d’engraisser des gens qui ne leur apportent rien en retour, qui ne font même plus semblant de ne pas les prendre pour des imbéciles. Encore moins dans l’état de destruction avancée où se trouve la France sous les mandats successifs de Sarkozy, Hollande, Macron. Car les Français sont en grand danger sous l’égide des cosmopolites, par l’invasion allogène débridée fidèle à sa tradition de pillage, de meurtre et de violence, par la destruction du modèle familial sous le lobbying de quelques détraqués LGBT fous furieux. Et il leur faut de façon vitale une structure politique pour se battre, sauver littéralement leur peau. Trois autoroutes que prend Marine Le Pen qui se muent en voies sans issues. Quel gâchis et quels dégâts pour la France !
Le naufrage doit cesser maintenant. Elle doit sortir du chenal politique, laisser le navire à un capitaine désireux de ne pas le couler.
Zemmour a décidé d’unir la droite quand il sera officiellement candidat, de ne pas rejeter ceux qui aiment la France et que les médias nomment extrême-droite, de faire la jonction avec ce qu’il peut y avoir de valable dans la droite bourgeoise, les abstentionnistes, ceux qui ont compris la calamité qu’est en réalité la gauche et la droite nationale. Il propose l’arrêt complet de l’immigration, l’expulsion des binationaux délinquants, l’abrogation des lois antiracistes qui empêchent par les tribunaux le peuple français pourtant agressé de se défendre. L’homme a du tempérament, il le fera s’il est élu. Il n’est pas un Sarkozy en quête d’une filouterie, mais je le crois vraiment, un homme aimant la France et désireux d’agir. Pour ces mesures, la vraie droite nationale non-reniée a tout intérêt à soutenir sa candidature.
Madame Le Pen a eu quinze longues années pour montrer son amour de la France plutôt que du mandat, elle ne l’a pas fait. Pour nos nombreux amis exclus du FN, pour le peuple français, pour la survie de notre pays, pour nos convictions politiques, pour cette façon de faire de la politique à des fins mercantiles qui nous répugne, nous œuvrons à travers nos cercles relationnels, nos réseaux sociaux, nos articles, nos rencontres à l’exclusion de Marine Le Pen d’un second tour qu'elle croyait déjà acquis.
En souvenir de vieux militants injustement poussés à la porte, nous lui dirons dans quelques mois : Marine Le Pen, vous êtes virée !
Ludovic Lefebvre - Délégué du Parti de la France pour Paris
Sujets abordés : les récentes tensions entre la France et l'Algérie, la disparition de Bernard Tapie, le nouveau scandale qui touche l'Église catholique, Zemmour qui dépasse Marine Le Pen dans les sondages, réponse à l'ingratitude de Jordan Bardella, la nécessité du nucléaire pour assurer notre souveraineté énergétique, conseils de lecture.
La Pologne a décidé d’opposer son veto aux « conclusions relatives à une stratégie de l’UE sur les droits de l’enfant » qui sont examinées depuis hier à Luxembourg lors du Conseil « Justice et affaires intérieures » de l’UE, où l’État polonais est représenté par son ministre de la justice, Zbigniew Ziobro.
La raison de ce veto, selon le ministère polonais de la justice, est que le document de l’UE – contrairement à son titre – porte atteinte aux droits de l’enfant d’être élevé dans une famille par un père et une mère. Au lieu de promouvoir réellement le bien-être de l’enfant, cette stratégie des droits de l’enfant n’est qu’un autre outil de la politique européenne pour promouvoir le mouvement LGBT et l’idéologie du genre. L’acceptation de ces conclusions conduirait à forcer la reconnaissance légale des « mariages » gays et lesbiens dans les États membres et l’adoption d’enfants par des couples homosexuels.
Cette initiative de l’UE n’a rien à voir avec les droits de l’enfant. Il s’agit de la mise en œuvre d’un plan annoncé le 16 septembre 2020 par la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, une stratégie visant à renforcer les droits des personnes LGBTQI. « Dans le cadre de ce plan, je ferai également pression pour la reconnaissance mutuelle des relations familiales dans l’UE. Si vous êtes un parent dans un pays, vous êtes un parent dans n’importe quel pays« , a-t-elle déclaré.
Un autre élément de cette stratégie consiste à obtenir la reconnaissance, à l’échelle de l’UE, des enfants des couples de même sexe. Cela a été confirmé quelques jours plus tard par la commissaire européenne à l’égalité, Helena Dalli, lorsqu’elle a répondu à une question sur les projets de la Commission européenne en matière de reconnaissance des droits familiaux pour les personnes LGBT+ : « Si vous créez une famille dans un pays, c’est une famille dans un autre pays ».
Or, ces hypothèses sont incompatibles avec la Constitution polonaise, qui stipule clairement que le mariage est l’union d’un homme et d’une femme. La loi polonaise ne permet pas non plus l’adoption d’enfants par des couples de même sexe, et la « reconnaissance à l’échelle européenne des enfants de couples de même sexe » signifierait précisément l’aspiration à légaliser ces adoptions dans tous les pays de l’UE. Face à la résistance de certains États membres, la Commission européenne tente de faire passer cette mesure en douce sous couvert d’une « stratégie pour les droits de l’enfant ». Le veto de Zbigniew Ziobro, qui sera le quatrième veto polonais au sein du forum européen, signifie que la supercherie a échoué, même s’il ne fait aucun doute qu’il déclenchera une nouvelle campagne de désinformation et de condamnation contre la Pologne.
Le vice-ministre de la justice Marcin Romanowski a exprimé la position de la Pologne dans les termes les plus forts possibles. « Cette stratégie de genre de la Commission européenne et les conclusions proposées sont contraires à notre identité nationale. Sous couvert de protéger les droits de l’enfant, la stratégie de l’UE veut forcer la Pologne et d’autres États membres à reconnaître les « mariages » LGBT et les homo-adoptions. Nous ne le permettrons pas.
Il n’y a pas de consensus au sein de l’Union européenne en ce qui concerne la vision de la famille et du mariage. Une fois de plus, l’Union européenne ignore les limites de ses compétences fixées par le Traité. La famille et le mariage sont des questions très sensibles, et comme le précisent les traités de l’UE et la Charte des droits fondamentaux, ils relèvent exclusivement des compétences des États membres. Le veto polonais peut être considéré comme un mécanisme visant à protéger l’État de droit au sein de l’Union européenne »
Dans son « souci » des droits de l’enfant, la commissaire Ursula Von Der Leyen veut imposer une « langue neutre » néo-marxiste dans toutes les écoles européennes. Pour une réelle protection des enfants polonais, le ministère de la justice dit « non » à cette folie. Notre éducation et notre droit de la famille resteront libres de cette idéologie empoisonnée.
La stratégie de la Commission européenne est détachée de la réalité. En Pologne, la mère est une femme et le père est un homme. Si quelqu’un pense qu’il peut modifier l’ordre naturel via la reconstruction des termes fondamentaux, c’est son problème. La Pologne ne permettra jamais à Bruxelles d’entraver la révolution idéologique de notre système juridique.
Le veto est la seule solution face à l’ignorance totale des propos tenus par la Pologne. Nous avons fait valoir que la stratégie interfère dans la sphère des compétences réservées aux autorités nationales. De plus, nous avons souligné le caractère idéologique du document qui se manifeste dans le langage utilisé. Sans surprise, la Commission ne s’est pas souciée de nos doutes. »
La Suède vient de suspendre « par précaution » le vaccin Moderna contre le coronavirus aux moins de 30 ans. Les autorités mettent en cause un risque d’inflammation cardiaque.
L’autorité de santé publique « a décidé de mettre en pause l’usage du vaccin Spikevax de Moderna pour tous ceux nés en 1991 et après, par principe de précaution », a-t-elle révélé dans un communiqué, justifiant sa décision par « des signes de risque accru d’effets secondaires comme les inflammations du myocarde et du péricarde ».
Pendant ce temps, en France, le gouvernement et les médias préparent la population à se faire injecter une troisième dose...
Les anti-Zemmour du camp national sont 100 fois plus obsédés par #Zemmour que ses propres soutiens. Pour certains, cela relève de la monomanie proche de la rage. Je m'inquiète pour leur santé mentale. Vraiment.
Il y a quatre cent cinquante ans jour pour jour, l’Europe remportait l’une des plus belles et des plus gigantesques batailles navales de l’Histoire. Il y a quatre cent cinquante ans jour pour jour, elle recouvrait sa supériorité en mer Méditerranée et mettait un coup d’arrêt à l’expansion ottomane. Il y a quatre cent cinquante ans, enfin, on assistait, à Lépante, au succès retentissant de la Sainte Ligue sur l’Empire ottoman : une victoire sans précédent, une victoire qui a su changer le visage de l’Histoire, mais une victoire qu’on ne célèbrera pas ! Le succès d’une civilisation chrétienne sur une puissance musulmane serait-il, aujourd’hui, un événement qui dérange ?
Par son ampleur, Lépante est d’abord une des plus grandes batailles navales que le monde ait connues : à l’aube du 7 octobre 1571, ce sont près de deux cent treize galères espagnoles et vénitiennes et trois cents navires turcs qui s’affrontent sur le golfe de Patras. La côte occidentale de la Grèce est ainsi le théâtre où s’affrontent, au-delà des hommes, deux puissances, et, au-delà des puissances, deux civilisations. Mise en péril par l’expansion ottomane qui commence à grignoter ses territoires et à s’imposer en Méditerranée, l’Europe se lève. Et l’historien Jean-Pierre Bois affirme que si la flotte chrétienne est inférieure en nombre, sa supériorité réside en sa ferveur religieuse qui permet aux troupes de croire en une victoire sur l’Empire ottoman dont la puissance n’est plus à établir, et de vaincre.
Par son issue, la journée du 7 octobre est, enfin, un tournant dans l’Histoire : elle met fin à l’expansionnisme ottoman et réaffirme la supériorité de l’Europe sur une puissance qu’on commençait à croire invincible. Comme on le disait alors, « on a coupé la barbe du sultan ! »
Pourquoi donc ce formidable succès ne serait-il pas mis à l’honneur pour son quatre-cent-cinquantième anniversaire ? Notre Europe du « vivre ensemble » et de la laïcité semble vouloir laisser Lépante au fond des archives, et elle n’a pas tort : commémorer le 7 octobre, c’est, en effet, commémorer une Europe combattante qui se lève pour défendre son identité et ses valeurs. En somme, commémorer Lépante, c’est commémorer la civilisation chrétienne que nos territoires ont fait naître. Célébrer la victoire chrétienne, c’est célébrer tout ce que notre Europe s’est appliquée à détruire pierre par pierre, c’est sortir du tombeau l’ancienne Europe, comme pour donner une leçon à celle qui l’y a mise.
Avec les Danois, c’est Noël avant l’heure, sachant que les Lituaniens viennent de trouver sous le sapin de quoi construire un mur de barbelés de quinze kilomètres de long, petit cadeau venu de Copenhague… Comparé au mur de 500 kilomètres que Vilnius, sa capitale, est en train d’ériger pour protéger ce petit État balte de l’immigration venue de Biélorussie, c’est modeste. Mais ces barbelés ne sont pas, non plus, tout à fait comme les autres, nous dit Le Monde : « Ce ne sont pas des fils classiques, mais un modèle spécial, en accordéon, couvert de lames similaires à celles d’un rasoir, pouvant causer des blessures mortelles. » Bref, on n’arrête pas le progrès, n’en déplaise aux professionnels du progressisme.
Paradoxalement, le Danemark n’est pas dirigé par un vieux mâle blanc, hétérosexuel et passablement énervé, mais par la très sociale-démocrate Mette Frederiksen, Première ministresse de son état, en grande partie élue sur le thème « zéro demandeur d’asile ». Là où tout se complique, c’est quand Mattias Tesfaye, son ministre de l’Intégration et de l’Immigration, lui-même enfant de réfugié éthiopien, est venu rencontrer son homologue lituanienne, Agnė Bilotaitė, ministre de l’Intérieur, histoire de vérifier la bonne tenue du dispositif frontalier en question.
De quoi donner des vertiges à la gauche humaniste, surtout quand on sait que les mêmes murs de barbelés ont aussi été érigés, en 2015, par le très peu fréquentable président hongrois, Viktor Orbán, à la grande fureur des autorités européennes. Pourtant, et ce, toujours à en croire le même quotidien vespéral, « six ans plus tard, Mattias Tesfaye a estimé que les critiques contre Budapest n’étaient “pas correctes” et que, “face à l’immigration incontrôlée”, la clôture était “une solution de bon sens”. »
Tel qu’il se doit, les organisations « humanitaires » font feu de tout bois, Amnesty International au premier chef, évoquant « un déni de réalité face à la crise migratoire actuelle ». Nonobstant, il est toujours possible de leur retourner le compliment, ces ONG ne se rendant pas forcément compte des bouleversements civilisationnels qu’impliquent de tels transferts massifs de population.
Et c’est précisément là que ces organisations aux financements des plus flous, pratiquant un sans-frontiérisme sans nuances et un écologisme à front de chèvre, en finissent, elles aussi, à sombrer dans un « déni de réalité » des plus patents. Car à les en croire, les frontières seraient ennemies de la paix, alors que c’est justement l’absence de frontières mal définies qui est souvent cause des guerres…
En effet, et ce, de tous temps, les conflits ouverts, entre armées officielles ou dans leur version asymétrique à vocation terroriste, ont toujours été le fait de frontières contestées. D’où la guerre larvée entre Inde et Pakistan relevant de ce Cachemire, zone frontalière au découpage approximatif. Idem pour les affrontements incessants de l’Afrique noire, issus des dingueries de géomètres coloniaux ayant redessiné ce continent à l’équerre et au compas, sans comprendre que, ce faisant, ils séparaient des peuples persistant à vouloir vivre ensemble, tout en obligeant d’autres à coexister avec ceux dont ils ne souhaitaient pas partager le quotidien.
Voilà qui vaut encore pour les deux Irlandes, Israël et la Palestine, les embrouilles territoriales n’en finissant plus de diviser Maroc et Algérie, sans négliger les douloureuses questions de la Crimée ou du Kosovo. Et Régis Debray, dans son remarquable essai, Éloge des frontières, de noter : « Une idée bête enchante l’Occident : l’humanité, qui va mal, ira mieux sans frontières. » Il faut vraiment être nigaud pour réfuter une telle évidence. Les écologistes sont pourtant les mieux placés pour le savoir, ayant tout fait, il y aura bientôt vingt ans, pour empêcher la construction de l’A28, coupable de menacer les « frontières » des scarabées pique-prune. Aux yeux de certains, à la fois déconnectés de la nature et de l’humanité, les hommes devraient donc avoir moins de droits que les insectes ? Il n’est pas idiot de se poser la question.