Violences agériennes en France : une contribution instructive au débat sur l'identité nationale


Mercredi soir, des dizaines de milliers de supporters algériens ou franco-algériens sont descendus dans les rues de nos principales villes, (Paris, Lyon, Marseille, Lille...), avec leurs drapeaux portant les symboles de l'Islam pour saluer la victoire de leur équipe de football. Ces manifestations, souvent suivies de pillages et d'incendies de voitures illustrent, d'une part l'incapacité du gouvernement à assurer l'ordre sur la voie publique et d'autre part, l'échec de l'intégration nationale basée sur l'accès automatique à la nationalité française.
Une partie de ces manifestants d'origine algérienne, qui ont acquis la nationalité française par le seul fait d'être nés en France, se sentent manifestement plus Algériens que Français. Il en est de même pour un nombre croissant de "jeunes" issus de l'immigration extra-européenne.
En plein débat sur la question de l'identité nationale, ces faits de violences anti-françaises nous rappellent quotidiennement que la carte nationale d'identité n'est pas la carte d'identité nationale.
Carl Lang et Le Parti de la France, soucieux de la sauvegarde de l'identité et de l'unité nationales ainsi que de la paix civile, rappellent l'urgente nécessité de réformer un code de la nationalité qui est devenu une machine administrative à détruire la France française.
Si les ministres de l'Intérieur et de la Justice se sentent inaptes à assumer leurs responsabilités et à défendre la sécurité des Français et de leurs biens, qu'ils partent !
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