Richard Millet nouvelle victime des bien-pensants (par Françoise Monestier)
« Il n’y a pas plus de racisme en
France qu’il n’y a de fruits d’or aux branches des arbres, et l’idéologie antiraciste a besoin d’en inventer pour justifier la terreur permanente qu’elle exerce sur tout le monde à commencer par
les écrivains (…) S’opposer à cette idéologie dominante revient à endosser un habit d’infamie (…) dans un monde aux valeurs entièrement inversées et où le mot interdit de « race » devient
l’obsessionnelle métaphore de la femme, de l’homosexuel, de l’obèse, du jeune, de l’animal… »
C’est par ces mots prophétiques que commence un des derniers pamphlets de Richard Millet, sobrement intitulé « De l’antiracisme comme terreur littéraire ». On peut y voir comme une introduction prémonitoire à son « éloge littéraire d’Anders Breivik » également récemment publié et contre lequel se mobilisent les habituels donneurs de leçons qui reprochent à Richard Millet d’avoir démontré que le prétendu « antiracisme » était devenu une arme idéologique pour étouffer la liberté d’expression de tous ceux qui osent s’en prendre à la doxa immigrationniste. Lire la suite
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