Mort suspecte du directeur de « Sciences-Po »
Le médiatique Richard
Descoings, directeur du prestigieux établissement censé former « l’élite » de la nation, a été retrouvé mort hier soir dans un hôtel de Manhattan (E-U), à l’âge de 53 ans.
Le décès est suspect (affaires cassées, plusieurs personnes présentes) même s’il y a peu d’éléments pour l’instant, et – si la prudence est de mise – beaucoup pensent secrètement à une affaire de mœurs, au vu de la personnalité de Descoings.
Il n’a pas fallu longtemps pour qu’il soit l’objet d’éloges de la part de la classe médiatico-politique dont il incarnait les aspirations.
Inverti notoire (déclarant, en tant que prof, en
amphi qu’il était « le premier pédé de Sciences-Po ») – bien que marié – et partisan de la dégénérescence des mœurs, il avait rendu obligatoire à Sciences-Po l’étude de la délirante
théorie du gender. Une première parmi les grandes écoles.
Descoings était aussi un xénophile forcené, hostile à l’identité nationale. Tenant de la « discrimination positive » (sic), il avait favorisé l’entrée des citoyens étrangers dans l’école (40% du total actuel !) sans parler des étrangers à papiers français derrière lesquels il courrait, notamment ceux des ZEP.
« Pour lui, un Français d’origine étrangère, de préférence maghrébine ou africaine, sera toujours préférable à un Français dit « de souche », quel que soit le milieu social des uns et des autres » dixit Marianne.
Récemment, il faisait voter une réforme d’ampleur du
concours d’entrée, avec notamment la suppression de l’emblématique épreuve de culture générale.
Descoings touchait un salaire de 24.000 nets par mois, avec chauffeur et logement de fonction, sans parler des primes.
En 2004, il avait signé un accord de coopération avec l’université de Tel-Aviv et n’avait cessé de renforcer le partenariat avec Israël.
Côté occulte, il était membre au moins du Siècle.
L’élite aux commandes perd une de ses étoiles…
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