Le cinéma « français » financé à 90 % par le contribuable
Selon une enquête de BFM Business, seuls 10% des films français ont été rentables en 2013, pour l’essentiel les comédies. Les 20 films les plus chers de l’année notamment n’ont pas été rentables. Le projet le plus rentable a été un documentaire consacré à l’écologiste Pierre Rahbi, Au nom de la terre, qui n’a coûté que 150.000 euros et a été vu par environ 100.000 personnes.
Si le film de propagande homosexualiste La Vie d’Adèle a été un succès rentable, d’autres projet clairement identifiés comme politiques et anti-français ont été des échecs cuisants.
C’est le cas de La Marche, qui a été vu par moins de 200.000 personnes, très loin des foules nécessaires pour équilibrer un budget de plus de 10 millions d’euros. Le film aurait
finalement rapporté moins de 10% de ce qu’il avait coûté).
Cette enquête a été publiée la veille de la remise du Rapport Bonnel à la ministre de la Communication Aurélie Filippetti. Le thème en est le financement du cinéma, dont la réponse est donc, d’une manière ou d’une le contribuable-consommateur qui ne va très majoritairement pas voir les films qu’il finance malgré lui au cinéma…
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