
Les salariés licenciés de l'usine Continental à Clairoix se sont vus proposer par la direction, dans le cadre réglementaire du code du travail, un emploi délocalisé en Tunisie
rémunéré royalement 137 € par mois.

Au-delà de l'indécence d'une telle proposition faite à des
personnes abattues et désormais en situation de précarité, c'est la politique de libre-échange sauvage de l'Europe de Bruxelles et du gouvernement français qui est directement responsable de
cette situation. En acceptant les délocalisations au nom de l'économie de marché et en refusant, pour ne pas déplaire aux multinationales apatrides, d'établir un protectionnisme national et
européen pour protéger nos industries et nos emplois, nos dirigeants euromondialistes participent activement à la liquidation de notre tissu industriel et à la paupérisation généralisée de notre
pays en mettant en concurrence les ouvriers français avec ceux du Tiers-Monde, exploités, sous-payés et ne bénéficiant d'aucune protection sociale.
Les Français ne doivent rien attendre des partis politiques du Système qui n'ont aucune intention de s'opposer au mondialisme économique destructeur de nos emplois. Bien au contraire, ceux-ci
souhaitent dissoudre les Nations dans un magma cosmopolite peuplé de consommateurs assistés, dociles et sans identité.
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