Ché Guévara : un communiste fanatique et sadique qui voulait atomiser New-York
L’icône « rebelle », bien que communiste, dont
les bourgeois boutonneux et les ados attardés occidentaux aiment à arborer le portrait sur leurs t-shirts, révèle encore davantage sa haine homicide, 50 ans après sa mort.
En effet, on apprend que peu après la crise des missiles à Cuba, alors que le monde avait échappé à la guerre nucléaire, Guevara demandait encore la possibilité de récupérer secrètement des missiles russes et déclarait en secret à l’ambassadeur de Yougoslavie à La Havane : « Si nous, les Cubains, avions le contrôle de [ces] armes nucléaires, nous les installerions sur chaque centimètre de Cuba et n’hésiterions pas, si nécessaire, à les tirer dans le coeur de l’adversaire : New-York. »
Voilà qui complète le portrait du « Che », dont Fidel Castro vantait la « qualité d’agressivité excessive ». Et c’est le moins qu’on puisse dire, quand on sait comme Guevara aimait à torturer et exécuter lui-même les condamnations à mort qu’il décrétait abondamment.
Il relatait ainsi, dans un passage de son journal de la
guérilla censuré par les autorités cubaines, qu’il s’était porté volontaire pour réaliser la première exécution décidée par les guérilleros, et décrivait lui-même avec complaisance la
scène : « J’ai résolu le problème en lui tirant dans l’hémisphère droit du cerveau une balle de calibre 32, qui est ressortie par la tempe gauche. Il gémit quelques instants puis
mourut. » Lire la suite
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