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Le blog politique de Thomas JOLY

Ces skins qui « menacent l’ordre public, tiennent le trafic de drogue, celui des armes à feu et détroussent des jeunes filles… »

8 Juin 2013, 12:34pm

Publié par Thomas Joly

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Extraits d'un article de Jacques de Guillebon, journaliste et essayiste catholique sur la récupération politique de la mort de Clément Méric.

 

Nous rigolons toujours en songeant à cette gauche française qui crie à la haine après avoir protégé des écrivains italiens des Brigades rouges aux mains tâchées du sang des assassins.

 

Je suis presque sûr que Robert de Maubeuge aussi bien que Kader de Villetaneuse rigolent devant leur écran plat. Oh non, ils ne rigolent pas de la mort du pauvre Clément. [...] Mais ils rigolent fort et à gorge déployée devant l’opération de récupération la plus minable et la plus sordide des dix dernières années. […]

 

Mais nous rigolons quand nous lisons que l’extrême droite a le monopole de la violence. Nous rigolons quand nous nous souvenons de ces manifs altermondialistes – et j’en étais, je peux en témoigner – où les black blocs ravageaient des quartiers entiers, incendiaient des banques, lapidaient des policiers et mettaient à sac des épiceries. Sans doute des gens d’extrême droite, comme les autonomes de Montreuil et leurs barres de fer, les milices de la CNT cagoulées qui font régner la terreur quand des vieillards anti-avortements s’enchaînent aux hôpitaux. […]

 

racaillesDes skins qui mettent la France en coupe réglée, qu’y disent. Que celui qui a croisé une bande de skins dans les rues de Paris ces dix dernières années lève le doigt.

 

Ils sont peut-être vingt, ces JNR, dans tout le pays, mais il est certain qu’ils menacent l’ordre public, tiennent le trafic de drogue, celui des armes à feu, et détroussent des jeunes filles après les avoir violées tous les soirs dans tous les arrondissements de Paris. C’est bien simple, leurs quartiers de banlieue sont devenus des forteresses dans lesquelles la police n’ose plus s’aventurer, des États dans l’État. Quelquefois ils font des nuits de cristal aussi, mais les médias ont tellement peur qu’ils n’en parlent même pas. […]

 

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