Agression « homophobe » de Lille : les « victimes » avaient menti
Après une intense campagne médiatique mensongère, organisée par le lobby gay, une banale bagarre de rue en avril à Lille s’était transformée en pogrom anti-pédéraste.
Trois Français ont été condamnés à six mois de prison avec sursis à Lille. Une peine encore lourde au vu des faits – une simple altercation – qui s’explique par la qualité de citoyens privilégiés des « victimes », des invertis employés d’un bar communautariste, le Vice & Versa.
Mais dans cette affaire, le tribunal a reconnu qu’il n’y avait eu « aucun caractère homophobe » et a relaxé les prévenus de ce chef d’accusation. Le représentant de Christiane Taubira avait pourtant réclamé un an de prison dont six mois ferme, pour justifier la campagne de haine dirigée pendant plusieurs semaines.
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