
En cette période de crise sociale et de plans de licenciements
quasi-quotidiens, la surenchère médiatique est devenue un enjeu considérable pour les camarades syndicalistes afin d'obtenir, officiellement, le maximum d'indemnités pour les licenciés et,
officieusement, le maximum de publicité pour leur petite boutique syndicale. Si on ne peut bien sûr être insensible à la détresse des salariés laissés sur le carreau, tout est-il permis pour
autant ?

En effet, on assiste de
plus en plus souvent à des provocations inadmissibles : séquestrations et violences sur des cadres, mise à sac des locaux de l'entreprise, dégradation de l'outil de travail, menace de tout faire
sauter avec des bonbonnes de gaz, saccage d'une sous-préfecture comme à Compiègne, menace de pollution d'une rivière avec des produits toxiques comme à Rouen, etc. Tout semble bon pour retenir
l'attention des médias toujours avides de sensationnel. La prochaine étape sera-t-elle la prise en otage d'enfants dans une crèche ?
Toutes ces provocations, savamment orchestrées par les syndicats gauchistes, suscitent une compassion toute relative pour des gens, certes désespérés, mais franchissant les limites de
l'acceptable dans leur lutte.

Plutôt que de se livrer à des exactions regrettables, les victimes de
plans dits "sociaux" feraient mieux de s'en prendre aux responsables de la situation actuelle, c'est-à-dire aux politiques qui favorisent depuis des décennies le mondialisme économique et
l'immigration-invasion qui ont pour conséquence inéluctable de détruire nos emplois, déréguler l'économie et niveller salaires et protection sociale vers le bas.
Politiciens du Système comme syndicats sont tous responsables et complices de cette crise économique et sociale. Ce sont à eux qu'il faut demander des comptes et qu'il faut virer avec perte et
fracas. Encore faudrait-il pour cela que les Français ouvrent enfin les yeux et regardent un peu plus loin que leur intérêt immédiat de consommateurs compulsifs assistés.

Le redressement de notre économie passe par un projet national, populaire
et social basé sur l'exclusivité nationale en matière d'embauche, de logements, de protection et d'aides sociales ainsi que sur un protectionnisme raisonné - pratiqué par de nombreux pays -
permettant de produire en France avec des Français.
Même si la mascarade démocratique est viciée, rien n'empêche d'exprimer son mécontentement et ses espoirs dans les urnes en apportant sa voix au mouvement qui défend réellement les intérêts de la
France et des Français : le Parti de la France de Carl Lang.
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