Bruno Gollnisch gagne en cassation

Le 11 octobre 2004, lors d'une conférence de presse à Lyon, Bruno Gollnisch avait assuré "ne pas remettre en cause les déportations" ni "les millions de morts" des camps nazis, avant d'ajouter : "Quant à savoir la façon dont les gens sont morts, ce débat doit avoir lieu". Interrogé plus spécifiquement sur les chambres à gaz, il avait répondu : "Je ne nie pas les chambres à gaz homicides. Mais je ne suis pas spécialiste de cette question, et je pense qu'il faut laisser les historiens en discuter. Et cette discussion devrait être libre".
Courageux défenseur de la liberté d'expression et de la libre recherche historique, Bruno Gollnisch a fait l'objet, suite à ses déclarations, de la vindicte du rouleau-compresseur politico-médiatico-judiciaire, des membres du Front National (Marine Le Pen en tête) se désolidarisant même de ses propos dans la presse.
Aujourd'hui, la justice donne enfin raison à Bruno Gollnisch, ce qui ne peut que réjouir tous ceux qui sont attachés à la liberté d'expression et à la recherche de la vérité.
Voir aussi sur ce sujet l'article du site Tous Avec Carl Lang.
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