Le kébab est-il pourri ?

L'Oise compte un nombre de "restaurants" kébabs impressionnant mais, sommes toutes, proportionnel à l'invasion migratoire du département. Pas une bourgade sans son kébab où des cuistots exclusivement maghrébins (que fait la HALDE ?) servent leurs mets suspects à leurs congénères, mais aussi, hélas, à nombre de Français de souche friants de malbouffe exotique, pourtant souvent toisés et méprisés en ces lieux.
Outre le fait qu'on se demande comment tous ces boui-bouis parviennent à survivre financièrement en vendant quelques sandwichs graisseux préparés avec une lenteur étudiée, les riverains de ces établissements doivent subir des désagréments olfactifs en raison des effluves dégagées et une clientèle bruyante qui fait souvent du kébab un point de ralliement où on traîne toute la journée (et toute la nuit) en allumant l'auto-radio à plein volume.
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