Inscription de l'IVG dans la Constitution : une atteinte au droit à la vie
À l’heure où notre pays est menacé de disparaître purement et simplement en raison d’une immigration toujours plus massive et incontrôlée, le seul souci de nos gouvernants est d’inscrire le droit à l’avortement dans notre Constitution.
Présenté comme un droit donné aux femmes l’avortement est toujours un drame pour celles qui y recourent et elles en gardent des blessures morales et psychologiques à vie.
L’avortement, quelle qu’en soit la cause, reste et demeure un crime abominable et avec préméditation. Il est la mise à mort d’un être humain conçu et vivant.
Le droit à la vie ne se discute pas, il ne se négocie pas. Il est la liberté la plus fondamentale de l’être humain.
Nos dirigeants feraient bien mieux de travailler à instaurer une véritable politique d’accueil de la vie notamment à travers la mise en place de l’adoption prénatale. Ce qui permettrait de confier des enfants indésirés à des couples qui souhaiteraient en avoir mais qui ne le peuvent pas.
Tout doit être fait pour permettre la vie face à la culture de mort qui gangrène notre société et notre civilisation.
Alexandre Simonnot - Membre du Bureau politique du Parti de la France
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