Les charognards de la secte covidiste se ruent sur le cadavre de Grichka Bogdanoff
Première chose que ces charognards mentionnent à propos de la mort de Grichka Bogdanoff, c'est qu'il n'était pas vacciné. Et hélas, parce que je sais maintenant à quel point l'âme de ces gens est sombre, hélas je devine avec quel plaisir sadique ils font cette précision, avec quelle satisfaction ils écrivent dans leurs torchons « il n'était pas vacciné ». Une façon de punir le mort, d'accuser le mort d'un quasi-suicide, une façon donc de tempérer l'annonce, de la rendre moins triste que s'il était mort d'autre chose.
Le message en filigrane : il est mort parce qu'il a bien voulu, c'est de sa faute, il a cherché, il a trouvé, et toc.
Ils avaient fait le même coup quand le chanteur Akhenaton, partisan de la liberté vaccinale et opposant au passe sanitaire, avait été hospitalisé : ils prenaient le même plaisir sadique à rappeler ses positions de manière à donner à son malheur la dimension méritée d'un retour de bâton.
J'imagine qu'on regardait brûler les sorcières avec le même plaisir sadique à d'autres époques. « Bien fait pour elle, elle n'avait qu'à pas être une sorcière, et toc ».
Par contre, quand un sportif en pleine forme tombe comme une mouche, décède à l'entraînement, arrête sa carrière suite à l'apparition soudaine de problèmes cardiaques, aucun de ces journalistes si prompts à s'attacher au statut vaccinal des gens ne juge nécessaire de préciser qu'ils étaient tous vaccinés.
Leur « science » a quand même vachement le goût, l'odeur et l'apparence d'une authentique secte.
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