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Le blog politique de Thomas JOLY

Le Nobel 2021 de médecine échappe aux inventeurs des « vaccins » contre le Covid

11 Octobre 2021, 06:42am

Publié par Thomas Joly

Ils étaient donnés grands favoris pour le Prix Nobel 2021 de médecine-physiologie : Drew Weissman et Katalin Karikó.

Ils sont en effet considérés par leurs pairs comme les ultimes précurseurs des « vaccins » à acide ribonucléique messager (ARNm) par leurs travaux, publiés en 2005.

Rappelons encore une fois, comme l’a montré entre autres le Dr Nicole Delépine, que l’emploi du terme « vaccin » (au sens pasteurien du terme) pour qualifier une injection génique à ARNm est une escroquerie scientifique. Mais ce n’est évidemment pas la raison pour laquelle le Comité Nobel a écarté nos deux valeureux chercheurs…

La liste des scientifiques qui mènent à cette « invention » présentée par l’oligarchie comme la panacée universelle contre la Covid-19 est fort longue. Depuis, naturellement, les découvreurs au début des années 1960, de l’ARNm, les Français François Jacob et François Gros  en passant par les travaux des professeurs X. Zhou, P. Berglund, G. Rhodes, S. E. Parker, M. Jondal, P. Liljeström, J. A. Wolff  en 1994 et j’en oublie sans doute beaucoup.

Le tout pour aboutir à des substances présentées comme des « vaccins » mais qui, curieusement, peuvent se dispenser des dix à douze années de phases préliminaires qu’exige tout candidat vaccin qui se respecte, avant d’être délivré au grand public par centaines de millions de doses…

Les scientifiques allemands ou américains qui ont développé le « vaccin » de Pfizer/BioNTech (particulièrement risqué puisqu’il repose sur un ARNm codant la protéine Spike de l’enveloppe du virus SARS-CoV-2 responsable de la Covid-19, protéine dont la toxicité est problématique), comme les scientifiques chinois de l’académie militaire de l’Armée populaire de libération, en association avec les sociétés de biotechnologie Suzhou Abogen Biosciences et Walvax Biotechnology, auraient pu être présentés par la grosse presse unanime comme également nobélisables…

Or l’Assemblée Nobel de médecine-physiologie, pilotée par l’Institut Karolinska  a superbement ignoré une Katalin Karikó ou un Drew Weissman, sans parler des autres « chaînons » que je viens d’évoquer.

La raison première invoquée par l’Académie elle-même est qu’elle ne nobélise jamais des inventeurs de vaccins.

Pour le Comité Nobel, un vaccin (nous incluons dans ce terme, par abus, les substances géniques à ARNm) n’est pas une « découverte » scientifique à proprement parler, mais l’utilisation, plus ou moins astucieuse, de découvertes faites préalablement. Nobéliser Monod, Lwoff et Jacob, oui, et ce fut fait en 1965 pour leurs travaux sur la « régulation génétique de la synthèse des enzymes et des virus » (François Gros fut très injustement « oublié » par le Comité Nobel), mais nobéliser Karikó ou Weissman, non…

Le Comité Nobel ne fit qu’une seule exception avec le scientifique sud-africain Max Theiler, inventeur d’un vaccin contre la fièvre jaune.

De 1932 à 1936, Theiler met au point un vaccin efficace et sans effet secondaire notable contre cette maladie qui, à l’époque, faisait des ravages considérables en Afrique subtropicale ainsi qu’en Amérique du Sud, infiniment plus que n’en fait actuellement le SARS-CoV-2 et tous ses variants sur l’ensemble de la planète… La baisse considérable du nombre de victimes consécutive à l’emploi de masse du vaccin Theiler (et d’un vaccin dérivé, dû à deux Français, Sellards et Laigret) a fait fléchir les sages du Comité Nobel qui lui décerneront son fameux Prix en 1951. Des raisons humanitaires sont manifestement intervenues dans la décision de l’Institut Karolinska…

Une autre raison de la non-attribution de l’illustre Prix à Karikó et Weissman, raison dont la presse mainstream ne s’est évidemment pas fait l’écho, est que les scientifiques de l’Institut Karolinska ont peut-être des doutes sur l’innocuité des « vaccins » à ARNm, et ne souhaitent pas être associés à ce qui pourrait devenir à plus ou moins brève échéance un véritable génocide planétaire.

Le Comité Nobel a sagement préféré récompenser deux scientifiques américains, David Julius et Ardem Patapoutian, pour leur découverte (en 1997…) des récepteurs de la température et du toucher.

Ça n’a l’air de rien, mais les travaux de ces deux chercheurs pourraient déboucher à terme sur des traitements réellement efficaces et pérennes de la douleur sous toutes ses formes. Une lumière pour ces millions de Terriens dont la vie se résume à la souffrance et au désespoir…

Henri Dubost

Source : http://ripostelaique.com

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