Patrick Jardin traite Salah Abdeslam de « porc » en pleine audience
Patrick Jardin a perdu sa fille au Bataclan, depuis, contrairement aux dégénérés qui refusent de haïr les terroristes responsables de la mort atroce de leurs proches, celui-ci dénonce la colonisation migratoire et islamique de l'Europe et réclame le rétablissement de la peine de mort.
Patrick Jardin raconte comment se déroule le procès des attentats du 13 novembre 2015 où il est partie civile :
« Le président a pu continuer l’appel des parties civiles jusqu’au moment où Farid Kharkhach fit un malaise. Le président demanda alors une suspension d’audience. Au retour, l’avocat de ce Kharkhach en profita pour attirer l’attention du président sur les conditions de détention de son client, qui, le pauvre malheureux, a dû subir deux fouilles à nu avant de pénétrer dans l’enceinte du tribunal. Pauvre petit. OUI, VOUS LISEZ BIEN ! C’est là qu’on a vu Salah Abdeslam se plaindre des conditions de détention allant jusqu’à dire qu’ils étaient traités comme des chiens.
Je ne pouvais laisser passer ça, c’en était trop ! Et je me manifestais en lui répondant qu’il était traité comme un porc et non comme un chien et qu’il fallait réfléchir avant de faire cela, si les conditions de détention ne lui convenaient pas. Mon avocat situé au premier rang et moi au dernier m’a dit : "je ne me suis pas retourné car j’étais sûr que c’était vous". Ce n’est quand même pas un de ces enculeurs de chèvres qui vont faire la messe chez nous dans notre palais de justice ! »
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