Un pseudo-confinement pour donner des gages aux fanatiques du lobby sanitaire ?
Il n'y a pas de troisième confinement en réalité. Les restrictions sont théoriques et l'attestation elle-même prévoit deux cents manières de les contourner (elle a même d'ailleurs été supprimée en journée). Beaucoup de commerces restent ouverts (tant mieux) et Darmanin demande aux préfets de dire aux flics d'être le plus pédagogues possible et de « faire preuve de compréhension avant de verbaliser ».
La question que je me pose est la suivante : pourquoi le gouvernement utilise le mot « confinement » et l'assume, alors qu'il est évident que ce qui s'applique depuis samedi ne ressemble en rien à un confinement tel que nous l'avons connu l'année dernière. Du strict point de vue de la communication, il avait la possibilité d'utiliser un autre terme que celui, terrifiant, de « confinement » : il pouvait se contenter par exemple de parler de « nouvelles mesures ». Mais il a décidé d'assumer le terrible mot de « confinement », et c'est cela qui est étrange.
Je persiste à penser que c'est pour donner un os à ronger aux nervis de la dictature sanitaire qui font pression en coulisse. Il n'y a aucune logique à appeler « confinement » quelque chose qui n'est pas un confinement, sauf à vouloir faire plaisir aux gens qui depuis des mois réclament un... confinement.
L'État profond semble se déchirer en ce moment. Certains corps s'opposent à d'autres en coulisses.
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