Voile contre République, le retour du faux débat
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Une étudiante voilée, bien connue des universitaires, est venue faire son show islamique dans les institutions de la République, ce qui a donné l’occasion à Anne-Christine Lang et quelques autres députés de faire leur numéro et de quitter l’Assemblée nationale, provocant une résonance médiatique de belle ampleur.
Mais ce matin, Anne-Christine Lang a expliqué ce qui l’a profondément choquée dans cette histoire de femme bâchée : le fait qu’elle préfère se soumettre « à la loi de Dieu » plutôt qu’aux « lois de la République ».
Déjà, le fait d’utiliser « Dieu » au lieu d'« Allah » en dit long sur le type d’élu auquel on a affaire, le genre qui va parler d’intégrisme ou de fanatisme religieux pour ne jamais dire islam ou terrorisme islamique.
Ensuite, la prétention de ce type d’élus, de vouloir que leurs lois, c’est-à-dire « les lois de la République », soient supérieures aux lois de Dieu, renvoie à la lutte éternelle de la République contre la France catholique, alors que le vrai problème posé par la multiplication des voiles c’est l’islamisation, la colonisation migratoire et islamique dont souffre la France et que subissent les Français.
Le problème n’est pas Dieu, le problème c’est cette république anti-française !
Bruno Hirout - Secrétaire général du Parti de la France
La réaction à cette affaire de Thomas Joly, Président du Parti de la France :
Ce ne sont pas les députés qui devaient sortir. Cette islamiste en #hijab, venue faire de la provocation, aurait du être expulsée par les huissiers de l'#AssembléeNationale. L'#UNEF n'est vraiment plus qu'un repaire d'islamo-gauchistes... https://t.co/BjtcQ5tSpg
— Thomas Joly (@ThomasJoly60) September 18, 2020
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