Dictature sanitaire : enfants terrorisés, harcèlement policier, chiffres truqués…
Décidément ça va mal, très mal dans ce pays. Je n’ose plus dire en France, la France ayant momentanément disparu pour toutes les raisons que l’on sait.
On nous explique que l’épidémie repart, que le nombre de cas explose, que la courbe du nombre de morts se redresse. On nous martèle que la situation s’aggrave d’heure en heure. On apprend que le plan blanc est réactivé en Île-de- France et que des opérations courantes sont déprogrammées pour libérer des lits de réanimation. Tant pis pour les malades qui attendaient une opération depuis le mois de mars, qu’on avait déprogrammée puis reprogrammée en septembre. Il devront attendre au péril de leur vie.
De jour en jour des mesures de plus en plus liberticides sont appliquées par les préfets dans les grandes métropoles, avec extension injustifiée à tout le département comme c’est le cas en Haute-Garonne, en Gironde et bientôt, si ce n’est déjà fait, dans les Alpes-Maritimes. Après un pilonnage médiatique intensif depuis 15 jours, la population est de nouveau placée en état de sidération ; au point que sur les places des bourgades rurales on voit les gens circuler masqués en plein midi, par 35 degrés à l’ombre. Les jours de marché, les gendarmes rôdent et gare à celui qui ne porte pas la muselière ou au commerçant qui laisse rentrer un client visage découvert.
Amendes et menaces de fermetures administratives sont monnaie courante, quand ce ne sont pas arrestations brutales et mises en garde à vue ; soi-disant pour rébellion. Les images en sont largement diffusées sur les réseaux sociaux par les passants qui contribuent ainsi à relayer la propagande perverse du pouvoir. Perversité absolue de ce pouvoir qui va jusqu’à traumatiser la population pour qu’elle relaye elle-même les images de la terreur. Il s’agit là de méthodes typiquement totalitaires, en version 2.0. Elles sont rendues possibles par la sophistication des moyens de communication en temps réel et par la puissance des réseaux sociaux. Perversité particulièrement sophistiquée et dégueulasse d’un pouvoir aux abois qui instrumentalise sa population contre elle-même.
On a déjà largement laissé crever les gens très âgés dans les Ehpad, le protocole Rivotril a fait le ménage. On s’apprête maintenant à laisser crever les patients en attente d’interventions chirurgicales, certains depuis des mois. La rumeur court que certains traitements médicaux ne seraient plus disponibles pour traiter certaines maladies mortelles. Qu’est-ce que cela veut dire ? À quoi joue- t-on ?
Bref, on nous rejoue le coup de la grande terreur et ça marche avec le consentement tacite de la majorité de la population qui se trouve instrumentalisée pour relayer la propagande du pouvoir contre elle-même.
Comble de la tyrannie de ce pouvoir, les dames des crèches et les enseignantes de maternelle sont contraintes de terroriser les très jeunes enfants en les accueillant masquées. On comprend aisément que pour des enfants en bas âge, qui viennent pour la première fois d’être séparés de leur mère et qui se retrouvent brutalement seuls face à des inconnues masquées comme dans des films d’horreur, l’expérience de l’entrée dans la vie sociale soit traumatisante. Quelle socialisation possible, quels débuts dans la vie face à des visages adultes masqués ? Comment le rapport aux autres ne serait-il pas complètement détraqué, à un âge où tout s’imprime définitivement pour la vie ? Que font les pédiatres, les psychologues, les psychiatres ? Pourquoi cette omerta face à ce formatage terroriste des esprits des très jeunes enfants ? Pourquoi ce silence face au conditionnement de masse qui s’opère à vie pour toute une génération ?
Les enfants à peine plus âgés sont obligés de porter le masque à l’école, et on leur interdit de respirer normalement pendant des heures et des journées entières. Les conséquences sur la santé et les traumatismes déjà visibles sont tels qu’un collectif de parents envisage de porter plainte. Là encore, on peut a minima parler de maltraitance et de mise en danger de la vie d’autrui.
Non content de terroriser les adultes, le pouvoir endoctrine les enfants dès l’école. Alors que les cours de morale ou d’éducation civique ont disparu depuis longtemps, et que tout le monde se fout bien de réguler l’incivisme généralisé et l’hyperviolence de certains enfants ; voici maintenant qu’apparaissent les dictées sur la pandémie, le coronavirus, les gestes barrière et le respect absolu des règles. On imagine aisément l’endoctrinement verbal qui accompagne ces dictées et la terreur que sont chargés de répandre les enseignants. Comme dans les pires dictatures, les enfants sont ainsi conditionnés à l’obéissance absolue aux ordres d’une puissance supérieure désincarnée et invisible. Ils sont endoctrinés par la peur, de manière parfaitement perverse, alors qu’on sait très bien qu’ils ne tombent pas malades. Cette manipulation est d’autant plus criminelle que tout le monde sait bien que la létalité du virus a disparu et que la pandémie est terminée.
Preuve que le pouvoir est parfaitement au courant de la perte de létalité du virus et de la fin de l’épidémie ; comme en URSS aux plus belles époques ou dans la Chine de Mao, il est obligé de tricher sur les statistiques pour créer l’illusion de la vérité officielle, du mensonge d’État qu’il entend promouvoir.
C’est ainsi qu’on apprend que les statistiques sur le nombre de morts ont été faussées par une prétendue erreur de Santé Publique France. Le 18 septembre, on serait brutalement passé de 50 à 123 morts en 24 heures. Panique dans les médias, urgence absolue, au secours on meurt, au secours on va tous mourir. Vite, prenons d’autres mesures encore plus totalitaires et liberticides… Vite, plaçons toute la population sous couveuse, encore plus d’interdictions, encore plus de restrictions de libertés, encore plus de mise en sidération de toute la population.
Et pourquoi toute cette mise en scène ? Un établissement hospitalier de l’Essonne aurait transmis tous les dossier du mois en un seul jour, gonflant ainsi artificiellement le nombre de morts et d’hospitalisations en 24 heures. Bref, ils ont retenu tous les dossiers du mois, et les ont dégorgés d’un seul coup, d’un seul, le même jour. Au final il n’y aurait eu que 47 morts le 18 septembre contre 50 la veille ; soit en réalité une baisse. Même chose pour le nombre d’hospitalisations.
Commenter cet article