Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le blog politique de Thomas JOLY

La République en émoi ! On a manqué de respect à Obono !

30 Août 2020, 11:08am

Publié par Thomas Joly

La République en émoi ! On a manqué de respect à Obono ! Le Premier Ministre en personne fait part de son dégoût !

Cette militante racialiste qui passe son temps à profiter de toutes les occasions pour tacler l'homme blanc, cette activiste indigéniste qui débarque à l'Assemblée avec un torchon africain sur la tête, cette obsédée de la repentance qui travaille au retour de la race dans le débat politique, pleurniche aujourd'hui parce qu'un journal entre dans son jeu et la grime en esclave. Comme cette autre Africaine inutile qui voulait émouvoir la France entière parce que Zemmour l'avait appelée Corinne, cette Obono veut nous faire croire qu'elle est blessée et atteinte par ce dessin insignifiant de Valeurs Actuelles.

Bien sûr, l'occasion est trop belle de pouvoir endosser à nouveau l'habit victimaire, la pleurniche étant finalement le seul programme et le seul fond de commerce de cette clique importée de beaucoup trop loin. « J'ai mal à ma France », va-t-elle jusqu'à dire, comme si elle avait la moindre idée de ce qu'est la France, elle qui participe activement à son effacement pur et simple.

Castex en personne, entre deux décrets où il réduit les libertés individuelles des Français, a trouvé le temps de s'émouvoir et de condamner. Rappelons tout de même que le jour de sa nomination, la Obono en question avait critiqué le fait que l'on nomme « un homme blanc », ce qui en dit long sur les préoccupations de cette femme noire qui se définit elle-même comme étant « afroféministe », à savoir une sous-section du féminisme qui met les femmes blanches dans le même sac que les hommes blancs, pour les envoyer ensuite tous dans les mêmes poubelles de l'Histoire.

Comment est-il possible que nous en soyons encore à commenter, jusqu'au sommet de l'État, les susceptibilités d'une médiocre militante racialiste noire, comme s'il n'y avait pas plus urgent, plus important et plus français à faire dans ce pays ?

Que crève cette République.

Jonathan Sturel

Commenter cet article