Émeutes américaines : bientôt l'extension du domaine de la lutte raciale vers la France
Des quartiers entiers des grandes villes américaines à feu et a sang, des organisations gauchistes et altermondialistes en encadrement... Un vent brûlant souffle sur les États-Unis, entre émeutes raciales et insurrection politique.
En ces temps d'épidémies, soyons certains que ni le port du masque, ni la distanciation sociale, ni le gel hydro-alcoolique n'empêcheront la contagion prochaine des émeutes américaines vers ces cités qui furent françaises où les racailles et les « antifas » voudront égaler les exploits de leurs semblables d'outre-Atlantique.
Déjà ce lundi de Pentecôte, un certain nombre de manifestations en hommage à Georges Floyd, désormais mondialement célèbre depuis sa mort un peu vite et bien abusivement attribuée à une bavure policière. Encadrées par des organisations gauchistes comme l'était quelques jours auparavant le cortège rassemblant un millier d'immigrés clandestins foulant au pied les dernières règles de confinement et bravant l'interdiction des pouvoirs publics qui ont laissé faire sans qu'il soit question pour les forces de l'ordre d'utiliser les moyens habituellement mis en œuvre pour contrer gilets jaunes, pompiers, infirmières ou mouvements nationaux, ces rassemblements étaient bien davantage des marques de soutien aux émeutiers américains que de compassion pour la victime cocaïnomane.
Déjà, les éternels « indignés » du monde du spectacle, de la littérature et du sport témoignent de leur compréhension active à l'égard des émeutiers US dans un élan de « générosité » combattante à sens unique qui n'est pas sans rappeler les scandaleuses déclarations de la chanteuse d'origine algérienne et néanmoins bourgeoise Camélia Jordana accusant sur France 2 les policiers de massacrer les populations des cités.
La technique est connue. Communistes et gauchistes la pratiquent depuis des décennies. S'emparer d'un sujet de société réel ou fictif, multiplier intox et mensonges, exploiter le tout jusqu'à l’écœurement pour affaiblir les esprits et détruire les résistances par sidération.
La France officielle — et, malheureusement, par facilité, lavage de cerveau et simple capillarité sociale, une frange de plus en plus importante de la France elle-même — s'est depuis longtemps convertie au multiculturalisme et au communautarisme sur le modèle américain. Moins un certain patriotisme étoilé et sans la poigne de Donald Trump qui, en exaltant « la loi et l'ordre » (« Law and Order », slogan de Richard Nixon lors de sa campagne de 1968, quand les campus s'enflammaient contre la guerre du Vietnam), en invitant les gouverneurs à organiser une répression sans faiblesse et en estimant nécessaire d'inscrire les antifas au rang d'organisation terroriste tient, au moins verbalement, le bon cap. Mais pour combien de temps ?
Laissons les Américains à leurs contradictions et à leur destin qui est loin d’être nécessairement le nôtre. Soit les Blancs qui, dans quelques années, seront minoritaires savent prendre les mesures qui s'imposent, soit les États-Unis sombreront corps et bien. Nous accueillerons alors les choses comme elles se présenteront avec le réalisme géopolitique qui fut longtemps un des fondamentaux de notre existence nationale.
Notre devoir, en revanche, est de prendre en compte avec lucidité la réalité de la nouvelle offensive lancée contre la France considérée comme maillon faible de l'Europe. Il existe bien, en effet, une volonté d'importation de la guerre raciale telle que la connaissent depuis toujours les américains. Les « tensions » permanentes que connaissent les cités, véritable poudrière sur laquelle sommeille la France, le noyautage gauchiste, l'action des associations antiracistes et communautaristes, l'endoctrinement patient des groupes islamistes seront les éléments-clés de l'extension à la France du domaine de cette lutte venue d'ailleurs.
Ce qui nous reste d’État, nous le savons, ne saura, ne pourra, ne voudra pas réagir.
Nous ne cessons de le répéter. La course contre la montre est engagée... Ou l'État National ou la fin de l'aventure France.
Jean-François Touzé - Délégué général du Parti de la France
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