Comprendre l’imposture #BlackLivesMatter avec Amandine Gay
Amandine Gay, universitaire et conférencière, suivie par 25.000 personnes sur Twitter, est une activiste du mouvement #BlackLivesMatter. Elle est aussi la responsable du site internet « badassafrofem » sur lequel elle se définit comme une « angry black lady », c’est-à-dire une femme noire en colère. On imagine le tollé si nous créions un site des « hommes blancs en colère ». L’horreur, quasiment le nazisme.
Donc cette activiste, en quoi nous donne-t-elle une bonne raison de mettre en lumière l’objectif réel (anti-blanc) du militantisme #BlackLivesMatter ? Tout simplement par sa réaction à la banderole déployée le week-end passé par Génération Identitaire contre le racisme anti-blanc. Cet énième avatar du progressisme racisé a déclaré, suite à la diffusion de la photo des jeunes blancs embarqués par la police : « On a (pas encore tous) les noms des identitaires et on a leurs photos. Peut-on savoir où ces personnes travaillent et étudient afin de lancer des pétitions et autres cercles d’appels pour demander leur renvoi ? »
On a (pas encore tous) les noms des identitaires et on a leurs photos.
— Amandine Gay (@OrpheoNegra) June 13, 2020
Peut-on savoir où ces personnes travaillent et étudient afin de lancer pétitions et autres cercles d’appels pour demander leur renvoi?
Le projet de pourrir la vie, d’essayer de faire perdre leurs emplois à des Blancs qui se plaignent de racisme anti-blanc, venant de Noirs qui se plaignent de racisme anti-noir en dit long sur la vraie nature des militants de #BlackLivesMatter : comme d’habitude, leur antiracisme n’est qu’un nom de code pour anti-blanc !
Il est temps de siffler la fin de cette turbulente récréation : dissolution de toutes les officines anti-françaises et expulsion de tous les indésirables.
Foutons-les dehors !
Bruno Hirout - Secrétaire général du Parti de la France
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