Castaner déclare le désarmement des forces de l'ordre
« Cette manifestation n'est pas autorisée mais il n'y aura pas de sanctions. »
Les sanctions, Castaner les réserve, en effet, aux policiers français traités en parias de cette République gangrenée.
Tout comme le sont, il est vrai, les ouvriers français, les paysans français, les salariés français, les personnels soignants français, les entrepreneurs français, les soldats français, les retraités français pour lesquels le principe théorisé par le ministre de l'Intérieur — « l'émotion s'affranchit des règles du droit » — ne s'applique évidemment pas, puisque dans le bourbier post-national qui nous tient lieu d'État, seuls ont droit à la parole, à l'affichage de leurs revendications et à la mobilisation de leurs activistes, les organisations immigrationnistes, antiracistes, indigénistes et communautaristes.
Les mouvements gauchistes et antifas qui encadrent ces associations viennent de remporter une grande victoire. Profitant de l'air du temps qui est planétariste et des ravages mondiaux induits par l'exploitation très politique de la mort de Georges Floyd, l'ultra gauche a obtenu, par sidération grâce au levier magique de l'anti-racisme, avec la complicité du ministre en charge de la sécurité, de l'ensemble de la superstructure et des medias, le désarmement moral et opérationnel des forces de l'ordre.
Si celles-ci ne se mobilisent pas immédiatement non seulement pour défendre leur honneur bafoué par le pouvoir, mais aussi pour rétablir les droits français à la paix civile et être à mėme de pouvoir assumer leur mission sacrée de défense de notre peuple, la tendance mortifère qui nous mène tout droit au chaos pourrait bien être irréversible.
Jean-François Touzé - Délégué général du Parti de la France
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