Les pseudo-leaders des Gilets jaunes Drouet-Nicolle-Ludosky solidaires des racailles de Grenoble !
On le sentait venir de loin, et les événements de Grenoble ont permis de mettre bas les masques. Alors que le mouvement des Gilets jaunes, au départ, était populaire, avec des patriotes qui chantaient la Marseillaise et déployaient le drapeau bleu-blanc-rouge, petit à petit, l’influence gauchiste, puis islamo-gauchiste a commencé à faire des dégâts dans le mouvement. Et, suite à la quatrième nuit d’émeute, à Grenoble, Éric Drouet et Maxime Nicolle tombent définitivement le masque, que Priscillia Lodosky avait déjà tombé quelques jours auparavant.
Le camarade Drouet, un porte-parole reconnu des Gilets jaunes n’a pas le droit de renvoyer dos à dos des racailles multirécidivistes qui ont volé un scooter et refusé de s’arrêter quand les policiers le leur ont demandé, avec les centaines de milliers de Gilets jaunes pacifiques qui, depuis le début, sont agressés par les forces de l’ordre de Castaner. En faisant ce parallèle dégueulasse et insultant, Drouet discrédite l’ensemble du mouvement, et montre qu’il n’a rien compris aux aspirations des Gilets jaunes de base, qui veulent vivre de leur travail, payer moins d’impôts et moins de taxes. Ils ne veulent surtout pas voir leur quotidien pourri par des racailles qui n’ont rien de commun avec eux, sont des parasites, et coûtent cher au budget de la France, et aux Gilets jaunes qui le financent.
Dans la même ligne que Drouet, l’islamophile Maxime Nicolle se sent obligé, avec une orthographe proche de celle de Drouet, d’en remettre une louche. Honteux et lamentable !
L’imposture est claire. Les porte-paroles Gilets jaunes tombent dans les piège des islamo-gauchistes, qui racontent que les violences subies par les GJ sont les mêmes que celles subies par les « djeunes » de banlieue. Or, cela n’a rien à voir. Les banlieues islamisées sont des zones de non-droit, non pas à cause de la violence policière, mais parce que dealers et islamistes, souvent les mêmes, y font la loi, et ne veulent plus voir les symboles de la Nation, dont la police, y faire la loi. Faut-il rappeler les agressions de nos pompiers, de nos facteurs ou de nos médecins, pour montrer combien cette mise en parallèle est sordide ?
Aucun Gilet jaune de base ne peut accepter une telle bouillie, qui revient à désarmer la police, à laisser les racailles faire la loi, et à voler impunément des scooters que des personnes ont payé cher, travaillant dur pour se les offrir. La base des Gilets jaunes est celle des travailleurs et des retraités souvent modestes, mais avec des valeurs saines. Ils revendiquent de vivre du fruit de leur labeur, et ne peuvent s’identifier aux trafics quotidiens de ceux qui vivent des aides publiques (payées par les GJ) et de leurs rapines.
Faut-il rappeler que nous sommes totalement dans la continuité du rassemblement d’Argenteuil, où, en présence de Jérôme Rodrigues, qui n’avait pas paru choqué, trois cents islamo-gauchistes avaient renvoyé dos à dos les événements de 2005, autrement dit la vandalisation de la France par les jeunes des banlieues islamisées, avec le soulèvement des Gilets jaunes ? Comme si la révolte contre les augmentations de l’essence de la France profonde, oubliée depuis quarante ans au profit des banlieues et de tous les milliards qui y ont été déversés, avait un rapport avec l’embrasement criminel de jeunes qui ont vandalisé tous les symboles de la République, et causé la mort de six innocents.
Certes, à notre connaissance, elle ne s’est pas encore exprimée sur Grenoble. Mais faut-il rappeler l’entretien amical de Priscillia Ludosky avec la sœur d’Amara Traoré, qui, à la tête de tout ce qui représente l’anti-France, multiplie, avec en arrière-plan la clique de Rokhaya Diallo et celle de Houria Bouteldja, les discours racialistes de haine contre notre pays et notre police. Pourtant, cette dernière est le dernier rempart, malgré les exactions scandaleuses de trop de flics, pour les Français, afin de les protéger des agressions quotidiennes de ceux que Drouet-Nicolle-Ludosky défendent, trahissant définitivement le mouvement. Faut-il rappeler que dans notre France, mille agressions gratuites, subies souvent par la France des Gilets jaunes, sont commises par ceux que plus personne n’ose appeler les « Chances pour la France ». Donc, la cohérence du discours de Priscillia Ludosky, c’est de tenir la même ligne pro-racailles que Drouet-Nicolle.
Pensant que l’entrée dans la lutte de ce qu’ils osent appeler les quartiers populaires, et que nous appelons les zones islamisées, vont aider les Gilets jaunes à vaincre le pouvoir, Drouet-Nicolle-Ludosky livrent ce mouvement à des meneurs qui sont aux antipodes des revendications des Gilets jaunes d’origine, et qui veulent récupérer ce combat pour faire la guerre à la France.
Finalement, le seul discours authentique de Gilets jaunes, vous l’entendrez le 17 mars, à Rungis, avec des intervenants qui aiment la France, et de véritables orateurs patriotes.
Alors, inscrivez-vous, sans la moindre hésitation, il est temps de clarifier les choses, et de se débarrasser de ceux qui vendent le mouvement aux banlieues, finissant de le liquider. Plus que jamais, il faut des Gilets jaunes populaires et patriotes, et des porte-paroles qui défendent le pays et son peuple, et n’hésitent pas à parler du problème numéro un du pays : l’invasion migratoire, et ses conséquences, l’islamisation de la France, qui ruinent les Français.
Source : http://ripostelaique.com
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