Un banquier musulman vide les comptes d'une vieille dame et se justifie en prétendant qu'elle est raciste
Les faits remontent à l’an dernier. Depuis plusieurs mois, dans l’agence LCL d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis colonisée), un jeune banquier nord-africain de 27 ans enrage car il ne supporterait plus la pression de sa hiérarchie et le soi-disant “racisme” d’une de ses clientes. En fait, il fomente une escroquerie à son encontre.
Il finit par “craquer”, comme il s’est justifié devant les enquêteurs. Entre mars et décembre 2016, il détourne 380.000 € de l’assurance-vie de sa cliente de 89 ans, révèle Le Point. Avec son butin, il aurait acheté deux appartements et des lingots d'or, pour un total de 36.000 €, retrouvés par la police lors d’une perquisition au domicile du voleur.
“Plusieurs éléments se sont ligués contre lui”, ose justifier son avocat au Parisien : “Une surcharge de travail, le fait qu'il ne se sentait pas considéré par sa hiérarchie et les propos racistes et islamophobes tenus selon lui par sa cliente, alors que lui et sa famille sont musulmans”.
Placé sous contrôle judiciaire en fin de semaine dernière, le banquier sera jugé le 21 août pour “escroquerie et blanchiment”.
Nul doute qu'un juge appartenant au Syndicat de la Magistrature trouvera à ce jeune banquier maghrébin d'Aubervilliers de solides circonstances atténuantes
Source : http://valeursactuelles.com
“Plusieurs éléments se sont ligués contre lui”, explique son avocat au Parisien : “Une surcharge de travail, le fait qu'il ne se sentait pas considéré par sa hiérarchie et les propos racistes et islamophobes tenus selon lui par sa cliente, alors que lui et sa famille sont musulmans”.
Placé sous contrôle judiciaire en fin de semaine dernière, le banquier sera jugé le 21 août pour “escroquerie et blanchiment”. “Son casier judiciaire est vierge et il a reconnu les faits à la première seconde de sa garde à vue”, a souligné son avocat.
“Plusieurs éléments se sont ligués contre lui”, explique son avocat au Parisien : “Une surcharge de travail, le fait qu'il ne se sentait pas considéré par sa hiérarchie et les propos racistes et islamophobes tenus selon lui par sa cliente, alors que lui et sa famille sont musulmans”.
Placé sous contrôle judiciaire en fin de semaine dernière, le banquier sera jugé le 21 août pour “escroquerie et blanchiment”. “Son casier judiciaire est vierge et il a reconnu les faits à la première seconde de sa garde à vue”, a souligné son avocat.
“Plusieurs éléments se sont ligués contre lui”, explique son avocat au Parisien : “Une surcharge de travail, le fait qu'il ne se sentait pas considéré par sa hiérarchie et les propos racistes et islamophobes tenus selon lui par sa cliente, alors que lui et sa famille sont musulmans”.
Placé sous contrôle judiciaire en fin de semaine dernière, le banquier sera jugé le 21 août pour “escroquerie et blanchiment”. “Son casier judiciaire est vierge et il a reconnu les faits à la première seconde de sa garde à vue”, a souligné son avocat.
“Plusieurs éléments se sont ligués contre lui”, explique son avocat au Parisien : “Une surcharge de travail, le fait qu'il ne se sentait pas considéré par sa hiérarchie et les propos racistes et islamophobes tenus selon lui par sa cliente, alors que lui et sa famille sont musulmans”.
Placé sous contrôle judiciaire en fin de semaine dernière, le banquier sera jugé le 21 août pour “escroquerie et blanchiment”. “Son casier judiciaire est vierge et il a reconnu les faits à la première seconde de sa garde à vue”, a souligné son avocat.
“Plusieurs éléments se sont ligués contre lui”, explique son avocat au Parisien : “Une surcharge de travail, le fait qu'il ne se sentait pas considéré par sa hiérarchie et les propos racistes et islamophobes tenus selon lui par sa cliente, alors que lui et sa famille sont musulmans”.
Placé sous contrôle judiciaire en fin de semaine dernière, le banquier sera jugé le 21 août pour “escroquerie et blanchiment”. “Son casier judiciaire est vierge et il a reconnu les faits à la première seconde de sa garde à vue”, a souligné son avocat.
“Plusieurs éléments se sont ligués contre lui”, explique son avocat au Parisien : “Une surcharge de travail, le fait qu'il ne se sentait pas considéré par sa hiérarchie et les propos racistes et islamophobes tenus selon lui par sa cliente, alors que lui et sa famille sont musulmans”.
Placé sous contrôle judiciaire en fin de semaine dernière, le banquier sera jugé le 21 août pour “escroquerie et blanchiment”. “Son casier judiciaire est vierge et il a reconnu les faits à la première seconde de sa garde à vue”, a souligné son avocat.
“Plusieurs éléments se sont ligués contre lui”, explique son avocat au Parisien : “Une surcharge de travail, le fait qu'il ne se sentait pas considéré par sa hiérarchie et les propos racistes et islamophobes tenus selon lui par sa cliente, alors que lui et sa famille sont musulmans”.
Placé sous contrôle judiciaire en fin de semaine dernière, le banquier sera jugé le 21 août pour “escroquerie et blanchiment”. “Son casier judiciaire est vierge et il a reconnu les faits à la première seconde de sa garde à vue”, a souligné son avocat.
“Plusieurs éléments se sont ligués contre lui”, explique son avocat au Parisien : “Une surcharge de travail, le fait qu'il ne se sentait pas considéré par sa hiérarchie et les propos racistes et islamophobes tenus selon lui par sa cliente, alors que lui et sa famille sont musulmans”.
Placé sous contrôle judiciaire en fin de semaine dernière, le banquier sera jugé le 21 août pour “escroquerie et blanchiment”. “Son casier judiciaire est vierge et il a reconnu les faits à la première seconde de sa garde à vue”, a souligné son avocat.
“Plusieurs éléments se sont ligués contre lui”, explique son avocat au Parisien : “Une surcharge de travail, le fait qu'il ne se sentait pas considéré par sa hiérarchie et les propos racistes et islamophobes tenus selon lui par sa cliente, alors que lui et sa famille sont musulmans”.
Placé sous contrôle judiciaire en fin de semaine dernière, le banquier sera jugé le 21 août pour “escroquerie et blanchiment”. “Son casier judiciaire est vierge et il a reconnu les faits à la première seconde de sa garde à vue”, a souligné son avocat.
“Plusieurs éléments se sont ligués contre lui”, explique son avocat au Parisien : “Une surcharge de travail, le fait qu'il ne se sentait pas considéré par sa hiérarchie et les propos racistes et islamophobes tenus selon lui par sa cliente, alors que lui et sa famille sont musulmans”.
Placé sous contrôle judiciaire en fin de semaine dernière, le banquier sera jugé le 21 août pour “escroquerie et blanchiment”.
“Plusieurs éléments se sont ligués contre lui”, explique son avocat au Parisien : “Une surcharge de travail, le fait qu'il ne se sentait pas considéré par sa hiérarchie et les propos racistes et islamophobes tenus selon lui par sa cliente, alors que lui et sa famille sont musulmans”.
Placé sous contrôle judiciaire en fin de semaine dernière, le banquier sera jugé le 21 août pour “escroquerie et blanchiment”.
Commenter cet article