Le gauchisme, cette maladie mentale
Écrire cet article est ingrat. Qu’il m’est pénible de m’abaisser au niveau de la vermine. Celui qui crache sur ses pères et vole l’avenir de ses enfants est le moins respectable des humains. Même la racaille islamiste des prisons et des banlieues mérite plus de considération. Aussi dégénérée et inféconde que soit leur civilisation consanguine, ils ne cautionnent pas le génocide des leurs.
Le gauchiste, c’est ce blanc qui possède l’Histoire la plus glorieuse, allant de la conquête des sciences et des technologies à celle du monde et de l’espace en passant par les arts et la gastronomie ; et qui est prêt à tout mettre à la poubelle. C’est ce faible qui reproche à sa civilisation d’avoir trop brillé, c’est cet enfant qui a peur de la virilité requise pour être fidèle à la grandeur de ses anciens. Le gauchiste c’est ce gamin qui n’a pas grandi et qui recherche encore le réconfort et la facilité du foyer maternel. Il préfère se convaincre que son monde est beau, juste et bon. Il se passionne pour les sciences improductives, s’extasie devant les arts dégénérés, érige le laid en beau et déclare « valeur » tout ce qui est opposé aux morales les plus vieilles de chez lui. Il erre sur le territoire de ses ancêtres défendant les hordes barbares qui l’envahissent et accablant ses frères qui résistent.
Il pue. La mort en émane. Dans ses yeux et sa silhouette atrophiée se devine l’envie de mettre fin à cette grandeur blanche, trop lourde pour ses épaules et si injuste à l’égard de tous les métèques incapables de cette Terre.
Le gauchisme est un obscurantisme. Il n’est pas rationnel. Il n’essaie même pas de l’être. C’est simplement une idéologie de destruction. Ses contradictions sont légion, mais loin de gêner ses adeptes, cela les rend plus radicaux, devant alors sans cesse mentir et nier le réel.
Quelques exemples célèbres :
Défendre les femmes et les gays mais soutenir l’islam qui vise à traiter les premières comme du bétail et à exécuter les seconds
Dénoncer l’attitude mondialiste et ultralibérale des élites mais défendre avec eux l’immigration qui détruit les standards sociaux
En vérité, soyons clair, tous les combats annexes de la racaille rouge (social, environnemental, culturel, etc) ne passent qu’en second plan après la lutte contre l’homme blanc viril. La plupart de leurs contradictions sont alors levées, car une idée nuisant à un combat annexe mais luttant contre l’homme blanc est une merveilleuse idée progressiste de gauche.
Ce qui dérange l’homme de gauche, ce ne sont pas les preuves chaque jour plus nombreuses de l’enfer de son monde multiculturel (crasse, odeur, impôt social, incivilité, vol, agression,viol, meurtre, attentat), c’est entendre quelqu’un lui montrer la réalité. Il est en déni. Pour lui, défendre l’état de sa société est souvent compliqué, alors le mieux est l’insulte. Et la paranoïa. Pour se cacher de la dure vérité, on s’invente une fiction apocalyptique : le danger fasciste. Le collabo préfère te parler de tous les massacres dans l’Histoire et de toutes les guerres sur la planète pour être en bonne condition morale lorsqu’il s’agit de nier l’extermination physique de son propre peuple et même de dénoncer ses congénères européens génocidés comme responsables de tous les maux que connaît la Voie Lactée et Andromède.
Le gauchisme ne construit pas sa pensée sur le raisonnement logique mais sur une succession d’émotions qui ne vise pas à la responsabilité mais au sentiment d’appartenir au « camp du bien ». Cela requiert de lui de sélectionner les éléments de réalité qui le renforce dans ce bon sentiment et de repousser les autres. Laisser entrer au nom des droits de l’homme un clandestin mahométan, analphabète, abandonnant sa famille, créé chez lui une sensation de devoir accompli. Que celui-ci pille, viole et tue, est une théorie conspirationniste. Ou alors c’est la faute du pays d’accueil dont les autochtones caucasiens seraient racistes.
Comme tout enfant trop gâté, lorsqu’il se fait corriger, le gauchiste surréagit. Il pleure, s’agite et se roule par terre. Il faut avouer que l’élection de Donald Trump, à ce titre, a diverti un grand nombre de patriotes. Les mines défaites, les pleurs sans fin, les désespoirs grotesques, les manifestations contre la démocratie, les appels au meurtre du président élu et au viol de sa femme, jusqu’à cette gauchiste étalant ses excréments sur une pancarte anti-Trump montre ce à quoi ressemble le gauchisme après une fessée par papa.
Pour finir sur une note positive, je voudrais rendre hommage à un certain type de gauchiste trop souvent injustement moqué. De tous les gauchos, que ce soit le rat d’université, le raté de l’éducation nationale ou la célibataire grosse et frustrée, celui le plus honnête est sans conteste le punk à chien. Car non content de promouvoir un programme d’anéantissement de son peuple, il l’expérimente directement et biologiquement sur lui.
Le patriote amateur
Source : http://suavelos.eu
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