Ces Allemands qui se détestent au point de vouloir disparaître
Cela devrait faire l’objet d’une thèse, qui sera difficile de développer en 3.000 signes. Cependant, le constat est cruel, mais il faut reconnaître que certaines déclarations de ces Verts allemands, d’une des leurs en tout cas, sont alarmantes. Stefanie von Berg, une blonde Walkyrie appartenant aux Verts, enseignante en formation professionnelle, un seul fils, le visage anguleux du sectarisme, déclare avec hargne devant le Parlement du Land de Hambourg ce qui suit et qui incite à la réflexion :
« Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs, notre société va changer, notre ville va changer radicalement. Je crois que dans les 20 à 30 années à venir, il n’y aura plus de majorité ethnique dans notre ville. C’est ce que disent également des chercheurs sur l’immigration. Nous vivrons dans une ville où fleurissent un grand nombre d’ethnies. Nous aurons beaucoup de gens et nous vivrons dans une société superculturelle. C’est de cela que notre futur est fait. Et je veux être claire, surtout à l’adresse de ceux de la droite, que cela est une bonne chose. »
La plaie du nazisme est béante et a développé dans ce pays une haine de soi bien plus importante qu’en France. De cela, il faudra accuser les Américains avec leur entreprise de « gommage intellectuel » mis en place après la guerre, afin que chaque enfant allemand se sente coupable à jamais et transmette cet héritage de génération en génération. J’en sais quelque chose : je l’ai subi et m’en suis sortie longtemps après.
Les répercussions sont aujourd’hui dramatiques et mènent une partie non négligeable de la population à s’effacer, en invitant massivement d’autres populations à la culture incompatible. Cela a commencé, pour reconstruire l’Allemagne, par l’introduction de « travailleurs invités » (« Gastarbeiter ») venus de Turquie et en moindre mesure de Grèce. Au lieu de rentrer, après la reconstruction, ces populations ont fait souche sans que jamais l’on se préoccupe, pour les Turcs, de leur appartenance à l’islam. Un élément de comparaison avec la France qui a également ignoré l’islam durant sa colonisation en Algérie.
Angela Merkel, sans enfants, est le produit d’une histoire issue de deux totalitarismes (le nazisme et le communisme) qui ont déchiré l’Allemagne jusqu’à nos jours. La chancelière est devenue la figure de proue de la disparition de son peuple, par sa folle politique migratoire.
Merkel et sa coalition rouge-vert s’allient dans l’extinction de leur peuple de souche pour ce qu’il représente : la mémoire de l’Histoire récente, dont on dirait qu’elle s’est arrêtée au nazisme. Le génocide doux a commencé par la baisse des natalités. Von Berg et Merkel, je le rappelle : l’une a un seul fils, l’autre n’a aucun descendant.
Les populations auxquelles elles ouvrent grand les bras, d’origine islamique, sont fécondes et répondent à la vision de Boumédiène qu’il évoquait à la tribune de l’ONU en 1974.
Source : http://www.bvoltaire.fr
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