La dissolution de l’Œuvre française et des Jeunesses Nationalistes confirmée par les gnomes du Conseil d’État
Le Conseil d’État, « chambre d’enregistrement des forfaitures » comme l’a indiqué Yvan Benedetti, a confirmé mardi la dissolution de l’Œuvre française et des Jeunesses nationalistes (JN). Agissant après une visite du président du Congrès juif mondial – qui avait ensuite exigé l’interdiction de l’Aube dorée (XA, Χρυσή Αυγή) grecque et du JOBBIK hongrois – Manuel Valls avait pris pour prétexte la mort d’une racaille dans les rues de Paris en juin 2013 pour « dissoudre » les deux mouvements nationalistes. Ni ceux-ci ni aucun de leur membre n’avaient pourtant le moindre lien avec l’agression commise par le gang extrémiste de Clément Méric, ni avec la mort consécutive de ce dernier.
« Il n’y a pas de place dans notre pays pour la haine, la xénophobie, l’antisémitisme ou des actes anti-musulmans » avait alors déclaré Manuel Valls. À l’inverse, il n’avait évoqué ni le racisme antiblanc ni l’anticatholicisme, qui fondent la République, ni la dissolution des milices d’extrême gauche, qui ont commis depuis des dizaines d’émeutes à travers le pays, et qu’il continue à protéger. Il avait alors qualifié l’Œuvre française de « matrice de l’extrême droite ».
Les employés de leur République ont validé les conclusions du rapporteur public qui avait évoqué de prétendues « provocations à la haine » et une prétendue « constitution de milice privée », qui avaient conduit, avec quelques autres mensonges, à la « dissolution ». Lire la suite
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