Après les corrompus et les dégénérés, le sénateur PS Jean-Pierre Michel au secours des tueurs-« héros » islamistes
Le juge Jean-Pierre Michel était devenu célèbre en 1990 pour sa participation au vote de la loi sur le financement des partis politiques. Cet ami des corrompus, membre du Parti socialiste impliqué dans d’innombrables affaires de détournements de fonds, abus de biens sociaux, etc., avait inséré dans le texte de loi un article qui permettait l’autoamnistie des politiciens véreux. Grâce à ce cadre du Syndicat de la magistrature (SM), l’un plus néfaste groupe d’extrême gauche, de nombreux politiciens impliqués dans des scandales politico-financiers furent « blanchis », de l’aveu de Charles Lederman, pourtant lui-même membre du Parti communiste.
Après les corrompus, Jean-Pierre Michel s’est penché sur le sort des déviants sexuels. C’est lui qui est à l’origine de la loi sur le PACS avec Patrick Bloche en 1999, et c’est encore lui qui conduit la bataille contre la famille depuis 2012 en se faisant au sénat le porte-parole des revendications des asociaux.
« Ce qui est juste, c’est ce que dit la loi. Voilà, c’est tout. Et la loi ne se réfère pas à un ordre naturel. Elle se réfère à un rapport de force à un moment donné. Et point final. C’est le point de vue marxiste de la loi. » avait déclaré à ce moment-là le fanatique.
Après les corrompus et les invertis, il se fait désormais le défenseur des tueurs islamistes. Durant des débats en commission, après s’être opposé à ce que les autorités empêchent le départ des terroristes il a déclaré : « Les terroristes d’un jour sont des héros le lendemain. »
Commenter cet article