Christophe Rambour, martyr de la criminalité étrangère
Ce jeune Français avait 27 ans. Maître-chien, il connaissait depuis peu le chômage en ce début d’année 2012, quand sa vie a basculé. Il était « unanimement apprécié dans son entourage. Gentil, serviable, un jeune homme sans histoire qui n’avait jamais eu de problème avec la justice ». Il a croisé la route d’une tribu de criminels étrangers. Trois frères et sœurs, ainsi que la compagne et le compagnon de deux d’entre eux, ont été inculpés et ont avoué. Ils ont séquestré Christophe à Villers-Faucon dans la Somme, et l’ont torturé durant plusieurs semaines avant de le mettre à mort, dans le seul but, a priori, de lui extorquer de l’argent.
Son corps n’a pas été et ne sera jamais retrouvé. Les barbares ont découpé son corps puis l’ont brûlé. Le caractère raciste anti-blanc de l’acte n’a été évoqué ni par la justice, ni parmi les rares médiats qui ont évoqué l’affaire. Une affaire similaire, mais dans laquelle la victime était juive, avait provoqué l’intervention du chef de l'État, de l’ensemble des journaux, des télévisions, jusqu’à la réalisation de quatre documentaires et un film. Christophe n’était qu’un jeune Blanc.
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